Skip to content
  • Mon compte
    • Mes commandes
    • Moyens de paiement
    • Mes téléchargements
Menu
  • Mon compte
    • Mes commandes
    • Moyens de paiement
    • Mes téléchargements
0,00 € 0 Panier
Logo Revue Reflets
  • Accueil
  • Pourquoi s’abonner
  • Boutique
    • Achats en ligne
    • Points de vente
  • A propos
    • Notre histoire
    • Nos Partenaires
  • Atelier d’écriture
    • Découvertes du moi(s)
  • Echangeons
  • Compléments Revue
    • Article inédit
    • Extrait d’article
    • Interview
  • Contact
  • Don
Menu
  • Accueil
  • Pourquoi s’abonner
  • Boutique
    • Achats en ligne
    • Points de vente
  • A propos
    • Notre histoire
    • Nos Partenaires
  • Atelier d’écriture
    • Découvertes du moi(s)
  • Echangeons
  • Compléments Revue
    • Article inédit
    • Extrait d’article
    • Interview
  • Contact
  • Don
Logo Revue Reflets
  • Accueil
  • Pourquoi s’abonner
  • Boutique
    • Points de vente
  • A propos
  • Atelier d’écriture
  • Echangeons
  • Compléments Revue
    • Article inédit
    • Extrait d’article
    • Interview
  • Contact
  • Don à Revue Reflets
  • Mon compte
    • Panier
Menu
  • Accueil
  • Pourquoi s’abonner
  • Boutique
    • Points de vente
  • A propos
  • Atelier d’écriture
  • Echangeons
  • Compléments Revue
    • Article inédit
    • Extrait d’article
    • Interview
  • Contact
  • Don à Revue Reflets
  • Mon compte
    • Panier

Blog

  1. Accueil>
  2. Interview>
  3. Le sourire ? Un pont entre le visible et l’invisible
  • Interview

Le sourire ? Un pont entre le visible et l’invisible

  • par Emilie Poget
  • 26 avril 2023
  • Aucun commentaire

Coup de projecteur

Patricia Montaud
Au début des années quatre-vingt, Patricia Montaud a croisé la route de deux êtres qui allaient bouleverser le cours de son existence. D’abord son époux, Bernard Montaud – fondateur d’une école spirituelle – qui l’a conduite sur la route du meilleur d’elle-même. Et puis Gitta Mallasz, auteur du livre Dialogues avec l’ange, qui vécut chez eux jusqu’à sa mort en 1992 et l’aida à cheminer vers son ange gardien. En 2007 elle fonde l’association des Amis de Gitta Mallasz (AGM) pour retransmettre tous les trésors qu’elle a reçus et qui ont donné sens à sa vie.
Link

L'interview

Sommaire

Interview de Patricia Montaud réalisé par Émilie Poget, de l’association AGM

Le sourire? Un pont entre le visible et l'invisible

Dans votre dernier livre, vous témoignez de toute la difficulté de rejoindre le sourire au cœur du quotidien. Pourquoi ce thème est-il si central dans l’enseignement des Dialogues ?

Parce que nous manquons tous de sourire sur nous-mêmes.

Sourire est une décision qui appartient à chacun de nous. Nous avons tous à chaque instant le choix entre gémir ou sourire, et ce choix est sacré car il change la destination d’une vie. Mais qui sait sereinement sourire sur ses agacements, sur ses imperfections, ses bêtises… ? Qui le sait ? Sourire, cela s’apprend… c’est un art !!
C’est d’ailleurs le premier apprentissage que j’ai vécu auprès de Gitta Mallasz. Quand j’arrivais les sourcils froncés sous le poids d’un grave souci, elle me disait :
– Sourire ou souffrir, à toi de choisir !

Et quand je lui répondais que je ne pouvais pas sourire d’un problème qui me faisait mal,

elle se campait devant moi, les deux mains sur les hanches, et me lançait avec un vouvoiement imparable :
– Madame Montaud ! Quand vous vivez des événements agréables, vous êtes toute réjouie. Mais quand ils le sont moins, vous faites grise mine. Pourquoi donc ? Parce que vous pensez que Dieu vous donne parfois des bons points, et d’autres fois des punitions ? Que parfois Il vous aime et parfois non ?

Cette phrase a été pour moi comme un électrochoc :

J’étais donc à chaque instant, devant deux destinations possibles : soit je pensais du mal de moi… soit je pensais du bien. Et cela ne dépendait que de moi.
La première route ne demande aucun effort, elle est en pente : il suffit que je me laisse glisser dans les méandres de mes jugements… « Tu aurais dû… », « Mais comment as-tu pu ! » « Tu es vraiment nulle ! » « Ma pauvre, tu ne seras jamais à la hauteur ».
La seconde route grimpe un peu et me demande l’effort d’un peu d’amour pour moi-même. Sur ce chemin-là, atteindre le sourire sur ma faiblesse de l’instant est un sommet.

Mais comment faites-vous pour prendre la bonne route ?

Connaître ce carrefour de vie est insuffisant,

et je me suis longtemps échinée à vouloir être parfaite au lieu de tenter un sourire sur mes imperfections. Dans les Dialogues avec l’ange, lors de l’entretien 12 avec Lili, il nous est donné une piste pour rejoindre le vrai sourire :

SACHE D’ABORD EMBRASSER,
ALORS TU POURRAS VOLER.
PAS AUTREMENT.

C’est cet apprentissage qui me manquait

et que j’ai vécu auprès de Gitta et de mon époux. Mais cela ne s’est pas fait en un jour. Ils m’ont d’abord appris à connaître et reconnaître les imperfections qui m’habitent et à les embrasser au lieu de leur claquer la porte au nez. Que ce soit avec Gitta m’apprenant l’humour sur moi en me faisant chanter ma jalousie sur un air de Verdi, ou avec mon époux m’aidant à visiter le passé qui m’avait construite ainsi, tous les deux m’ont enseigné la route du sourire.

Mais comment faites-vous concrètement aujourd’hui pour désamorcer vos jugements ? Ils sont tellement plus automatiques que les mots d’amour !

Il s’agit de ne pas perdre une seconde lorsque je me juge ! Surtout, ne pas laisser le temps aggraver mes accusations, que ce soit contre moi ou contre les autres, parce que plus je descends la pente des reproches, plus elle est rude à remonter. En ce qui me concerne, tout dépend de la taille du jugement que je me porte.
Pour un « petit jugement », me voir à l’œuvre et me parler avec tendresse suffit à me faire sourire : Je t’ai vue, petite Patricia ! Mais tu es là aussi !
Pour un « moyen jugement », j’ai développé un outil simple, pratique, facile à utiliser en toute circonstance : puisque mes agacements ont tous la même origine – je ne me donne « pas le droit » d’être celle que je suis, pas le droit à mon imperfection – alors je vais essayer de me
donner ce droit. Je vais remplacer ma ribambelle de Je n’ai pas le droit par une ribambelle de J’ai le droit.
Par exemple au moment où je me surprends à me juger d’avoir passé une journée à courir au lieu de respecter mon rythme, il suffit que je commence, même en tâtonnant, par un premier j’ai le droit souvent maladroit :
J’ai bien le droit de ne pas être parfaite…
Bof ! Cela ne me fait ni chaud ni froid.
J’ai le droit d’espérer une journée où je serai « zen » du matin au soir…
Là, s’esquisse un début de sourire.
J’ai le droit d’avoir peur de ne pas assumer tout ce que j’ai sur les épaules…
C’est bien moi ! Je me reconnais tellement dans celle qui ne se sent pas à la hauteur.
J’ai bien le droit de vouloir être irréprochable… sinon qui va m’aimer ?
Là je suis saisie ! C’est ça ! J’y suis ! Et je me sens fondre de tendresse pour moi-même… un discret sourire sur les lèvres.

Et vous y parvenez chaque fois ?

Oh que non ! Car il existe une troisième catégorie de jugements, plus puissants et plus résistants : les « gros jugements », qui réclament de plus gros moyens. Là, pour pouvoir vraiment m’innocenter, il me faut revenir à l’origine de mon imperfection, là où tout a commencé :
mon passé.
Il suffit que je fasse silence pour qu’un souvenir de mon enfance surgisse, faisant écho point par point à ma misère de l’instant en l’éclairant d’un jour nouveau. Et c’est la petite Patricia que je prends dans mes bras. C’est elle qui va me toucher le cœur au point de me retourner dans un vrai sourire de miséricorde !

Pour lire l’article en entier, Reflets n° 47 pages 51 à 54

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Articles qui pourraient vous intéresser

la porte du coeur
Extrait d'article
Equipe de rédaction Reflets

La porte du cœur, frère Samuel

  Frère Samuel, philosophe et théologien, est proche de l’entreprise et du monde de la

Lire la suite »
Equipe de rédaction Reflets 26 mai 2023
Interview
Equipe de rédaction Reflets

 Le foot, reflet de la société

      Votre livre Coups de sifflet nous apprend beaucoup sur la société grâce à vos

Lire la suite »
Equipe de rédaction Reflets 19 mai 2023
Une autre manière de vivre
Interview
Florian Gomet

Une autre manière de vivre

Originaire du Brionnais, éperdu de liberté, Florian Gomet se définit comme un aventurier hygiéniste. Découvrant

Lire la suite »
Florian Gomet 13 mai 2023

Rechercher

A propos de l'auteur

Le sourie? un lien entre le visible et l'invisible
Emilie Poget

ASSOCIATION AGM

lesamisdegittamallasz.org/

Don

Vous pouvez faire un don pour aider à financer Revue Reflets.

Faire un don

Newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir les actualités de Reflets.

La revue du trimestre

Loading...
Reflets 47

Atelier D'écriture Reflets

La méthode Reflets, expérimentée depuis 2012 pour écrire les articles de la revue, est l’outil utilisé pour passer de l’écriture émotionnelle à l’écriture inspirée.

Révélez votre génialité

S'inscrire

Suivez-nous

Facebook Youtube

Revue Reflets

REFLETS, revue trimestrielle, porte un autre regard sur l’actualité essayant d’apercevoir ce qui se joue au-delà de l’aspect émotionnel, pour la société, la civilisation, voire l’Histoire.

Envelope Facebook-f Youtube

A la une

Loading...
Reflets 47

Revue Reflets n°47

AVRIL / MAI / JUIN 2023

Voir tous les numéros

Liens utiles

  • Mentions légales
  • Politique de confidentialité
  • CGVU
  • Mentions légales
  • Politique de confidentialité
  • CGVU

Revue Reflets © 2021 – Agence Bee too Bee

×

Panier

Don

Reflets
A besoin de vous !

Le site Reflets est destiné à devenir un lieu d’échange où chaque internaute peut trouver gratuitement :

  1. Des informations
  2. Des points de vue
  3. Des articles inédits
  4. Des interviews

Et cela sans avoir :

  • À payer un espace dédié
  • Sans être noyé dans de la publicité

De ce fait, pour que Reflets puisse perdurer, nous vous invitons à faire un don à l’association.

De quelques centimes à  ….illimité, c’est vous qui choisissez.

Je veux faire un don !