Skip to content
  • Mon compte
    • Mes commandes
    • Moyens de paiement
    • Mes téléchargements
Menu
  • Mon compte
    • Mes commandes
    • Moyens de paiement
    • Mes téléchargements
0,00 € 0 Panier
Logo Revue Reflets
  • Accueil
  • Pourquoi s’abonner
  • Boutique
    • Achats en ligne
    • Points de vente
  • A propos
    • Notre histoire
    • Nos Partenaires
  • Atelier d’écriture
    • Découvertes du moi(s)
  • Echangeons
  • Compléments Revue
    • Article inédit
    • Extrait d’article
    • Interview
  • Contact
  • Don
Menu
  • Accueil
  • Pourquoi s’abonner
  • Boutique
    • Achats en ligne
    • Points de vente
  • A propos
    • Notre histoire
    • Nos Partenaires
  • Atelier d’écriture
    • Découvertes du moi(s)
  • Echangeons
  • Compléments Revue
    • Article inédit
    • Extrait d’article
    • Interview
  • Contact
  • Don
Logo Revue Reflets
  • Accueil
  • Pourquoi s’abonner
  • Boutique
    • Points de vente
  • A propos
  • Atelier d’écriture
  • Echangeons
  • Compléments Revue
    • Article inédit
    • Extrait d’article
    • Interview
  • Contact
  • Don à Revue Reflets
  • Mon compte
    • Panier
Menu
  • Accueil
  • Pourquoi s’abonner
  • Boutique
    • Points de vente
  • A propos
  • Atelier d’écriture
  • Echangeons
  • Compléments Revue
    • Article inédit
    • Extrait d’article
    • Interview
  • Contact
  • Don à Revue Reflets
  • Mon compte
    • Panier

Blog

  1. Accueil>
  2. Extrait d'article>
  3. Gino BARTALI dit Gino, le pieux
  • Extrait d'article

Gino BARTALI dit Gino, le pieux

  • par Anita
  • 6 novembre 2018
  • Aucun commentaire

Sommaire

Destin remarquable

 

 width=

 

Gino Bartali, champion cycliste Italien, a gagné le tour de France en 1938 et 1948. 10 ans d’intervalles entre 2 tours, exploit inégalé à ce jour. En 2013, il est reconnu Juste parmi les Nations  par Le Mémorial Yad Vashem grâce à une multitude de témoignages de proches, amis ou prêtres. Le très riche livre « Road to Valor »écrit par un couple d’américains, suite à 10 années d’enquête, relate avec beaucoup de précisions les faits. Il n’a jamais, de son vivant, souhaité que l’on parle de ses actions. « Les choses se font mais ne se disent pas »répétait-il. C’est après sa mort en 2000 que  les médias n’ont  cessé de vanter le courage de cet homme qui a sauvé 800 juifs et 50 anglais pendant la Guerre grâce à son vélo et au péril de sa vie.  Touché par la lecture du livre de Jean Paul Vespini « Gino, le Juste », Nous décidons de nous rendre sur les lieux de son enfance en Italie. En ayant à cœur de ne pas trahir sa belle âme, la vie va nous offrir la rencontre d’un de ses plus intimes amis, Andréa Breschi. Avec comme cadeau, la grande chance que Luigi, le fils cadet de Gino acceptent de nous témoigner leurs souvenirs.

Je crois que Dieu m’a créé pour pédaler, c’est son vœu. Je suis donc entré dans le cyclisme comme on entre dans les ordres

Son entrée, en 1943, dans le réseau Delasem en collaboration avec le Cardinal Dalla Costa  de Florence l’amène à parcourir des milliers de kilomètres à vélo, cachant des faux documents dans son tube de selle, jusqu’à une imprimerie clandestine, pour sauver des juifs. En 1979, Paolo Conte, chanteur italien chante « combien de routes dans mes sandales, mais combien en aura fait Bartali ? ». Cette chanson prend tout son sens à ce jour. Gênes, le Vatican ou Assise puis retour à Florence, souvent 320 km aller-retour la même journée. Parfois, il dormait dans les monastères protégé par ses amis prêtres. Toujours avec la prière comme fil conducteur.

« Gino avait une spiritualité bien personnelle »nous raconte Andréa Breschi « il priait pour que l’Homme soit bon. Il n’hésitait pas avec son franc parlé d’exprimer, au pape et aux hommes d’églises, ce qu’il ne trouvait pas juste ». Ami de pie XII qui l’avait remercié dans une lettre pour ses envois de documents, il échappa au pire quand les fascistes interceptèrent la fameuse missive. Il justifia l’envoi de patates au Vatican pour retrouver sa liberté, après quelques jours de prison  !!! .Gino risquait bien sa vie et celui de sa famille. Même s’il refusa de dédier sa victoire au régime de Mussolini, préférant déposer son bouquet de vainqueur dans  Notre dame des victoires à Paris pour Thérèse de l’enfant Jésus, son « immunité »de vainqueur du tour de France 1938 le protégeait.

Luigi, fils cadet de Gino me raconte « Un jour, mon père fut arrêté par un poste de soldats allemands, emmené à la villa Triste de Florence connue pour ses persécutions et tortures, il passa une nuit en prison ». Admiratif, les soldats en oublièrent de fouiller son vélo ! Sainte Thérèse semblait veiller sur cet homme qui avait gravé son visage de religieuse sur son cadre de vélo. Car ne fallait-il pas être accompagné par une foi inébranlable pour tenir de tels engagements dans ce monde ténébreux et sans pitié que cette deuxième guerre mondiale ? Gino avait connu l’église avec des parents très croyants. La mort accidentelle sur un vélo de son frère Giulio en 1936 fût un drame qui renforça sa foi, à tel point qu’il décida son entrée à l’ordre du carmel de saint François d’Assise peu après. « Je pédalerai avec toi, Giulio, je te parlerai comme au temps où nous faisions courber les montagnes »se répétait-il.

Quelle plus belle histoire sportive que celle de Gino ? Troublé et ému, je l’avais été en découvrant celle de Gitta Mallasz, artiste peintre, championne de Hongrie de natation, scribe du livre
« dialogues avec l’ange » et, elle aussi, Juste parmi les nations en 2011. Et une question : pourquoi, quand le sombre, tel une toile d’araignée, envahissait un monde perdu pendant la période nazi, des hommes et des femmes ont risqué leur vie pour en sauver d’autres ? comment peut-on être animé d’une telle foi ?

 width=

Pour lire l’article en entier, Reflets n°29 pages 74 à 78

Continuer la lecture

Retrouvez cet article dans son numéro de parution

Acheter la revue

Articles qui pourraient vous intéresser

Un autre regard sur l’eau
Extrait d'article
Christian ROESCH

Un autre regard sur l’eau

Parmi les grands problèmes actuels du monde, celui de l’eau prend une importance de premier

Lire la suite »
Christian ROESCH 3 février 2023
Être en chemin, c'est changer tout le temps
Interview
Jacques Castermane

Être en chemin, c’est changer tout le temps

  Nous vous avions rencontré ici même, il y a une dizaine d’années. Est-ce que

Lire la suite »
Jacques Castermane 2 février 2023
Empreinte carbone et empreinte humaine
Extrait d'article
Jérôme Robert

Empreinte carbone et empreinte humaine

  Après une première partie de carrière dans le domaine technique, Jérôme Robert se tourne

Lire la suite »
Jérôme Robert 24 janvier 2023

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Rechercher

A propos de l'auteur

Anita Epiney, membre de l'équipe Reflets
Anita

Don

Vous pouvez faire un don pour aider à financer Revue Reflets.

Faire un don

Newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir les actualités de Reflets.

La revue du trimestre

Loading...

Atelier D'écriture Reflets

La méthode Reflets, expérimentée depuis 2012 pour écrire les articles de la revue, est l’outil utilisé pour passer de l’écriture émotionnelle à l’écriture inspirée.

Révélez votre génialité

S'inscrire

Suivez-nous

Facebook Youtube

Revue Reflets

REFLETS, revue trimestrielle, porte un autre regard sur l’actualité essayant d’apercevoir ce qui se joue au-delà de l’aspect émotionnel, pour la société, la civilisation, voire l’Histoire.

Envelope Facebook-f Youtube

A la une

Loading...

Revue Reflets n°46

JANVIER / FEVRIER / MARS 2023

Voir tous les numéros

Liens utiles

  • Mentions légales
  • Politique de confidentialité
  • CGVU
  • Mentions légales
  • Politique de confidentialité
  • CGVU

Revue Reflets © 2021 – Agence Bee too Bee

×

Panier

Don

Reflets
A besoin de vous !

Le site Reflets est destiné à devenir un lieu d’échange où chaque internaute peut trouver gratuitement :

  1. Des informations
  2. Des points de vue
  3. Des articles inédits
  4. Des interviews

Et cela sans avoir :

  • À payer un espace dédié
  • Sans être noyé dans de la publicité

De ce fait, pour que Reflets puisse perdurer, nous vous invitons à faire un don à l’association.

De quelques centimes à  ….illimité, c’est vous qui choisissez.

Je veux faire un don !