Skip to content
  • Mon compte
    • Mes commandes
    • Mes téléchargements
Menu
  • Mon compte
    • Mes commandes
    • Mes téléchargements
0,00 € Panier
Logo Revue Reflets
  • Accueil
  • Pourquoi s’abonner
  • Boutique
    • Boutique
    • Points de vente
  • A propos
    • Notre histoire
    • Nos Partenaires
  • Atelier d’écriture
  • Echangeons
  • Compléments Revue
    • Article inédit
    • Extrait d’article
    • Interview
  • Contact
  • Don
Menu
  • Accueil
  • Pourquoi s’abonner
  • Boutique
    • Boutique
    • Points de vente
  • A propos
    • Notre histoire
    • Nos Partenaires
  • Atelier d’écriture
  • Echangeons
  • Compléments Revue
    • Article inédit
    • Extrait d’article
    • Interview
  • Contact
  • Don
Logo Revue Reflets
  • Accueil
  • Pourquoi s’abonner
  • Boutique
    • Points de vente
  • A propos
  • Atelier d’écriture
  • Echangeons
  • Compléments Revue
    • Article inédit
    • Extrait d’article
    • Interview
  • Contact
  • Don à Revue Reflets
  • Mon compte
    • Panier
Menu
  • Accueil
  • Pourquoi s’abonner
  • Boutique
    • Points de vente
  • A propos
  • Atelier d’écriture
  • Echangeons
  • Compléments Revue
    • Article inédit
    • Extrait d’article
    • Interview
  • Contact
  • Don à Revue Reflets
  • Mon compte
    • Panier

Blog

  1. Accueil>
  2. Extrait d'article>
  3. La terre et les hommes sont malades
  • Extrait d'article

La terre et les hommes sont malades

  • par Anita
  • 13 mai 2019
  • Aucun commentaire

Sommaire

 width=Olivier Soulier
Olivier Soulier

 par Christian Geniller
Médecin homéopathe et acupuncteur, conférencier international, écrivain, chercheur, Olivier Soulier est, depuis plus de vingt-cinq ans, à l’origine du mouvement sur la compréhension du sens des maladies et des évènements de notre existence. Sa vision très concrète s’enrichit de sa pratique en cabinet. Ses actions s’inscrivent  dans une réalité scientifique et spirituelle. Il a mis en place ce qu’il appelle une « médecine du sens ». Nous l’avons rencontré à Marseille où était organisé cette année le Salon international de médecine naturelle.

Comment votre parcours de médecin vous a-t-il amené à faire une conférence sur la terre et les hommes ?

Mon travail de médecin homéopathe ainsi que mes recherches sur l’autisme m’y ont conduit. J’ai toujours aimé la terre, la nature, les arbres. Dans mon enfance, j’étais un amoureux des indiens à plumes. Ils nous ont montré ce qu’était l’écologie. L’homéopathie m’a amené à la médecine naturelle. Je suis passé de médecin à «lanceur d’alertes» grâce à la découverte de l’autisme. Selon les données statistiques d’évolution, il pourrait bien y avoir un enfant sur deux qui soit autiste dans vingt-cinq ans. Ce serait la fin de l’espèce humaine. Il fallait que j’agisse. Se mobiliser pour soigner l’homme et la terre me paraissait essentiel. Nicolas Hulot en parle très bien : notre système économique est fait pour la destruction de l’écologie. Ce système criminel de profit financier en bonne partie géré par des ordinateurs ne tient pas compte des facteurs nature et environnement. Ce n’est que du profit ! Attention ! Nous allons nous retrouver rapidement sur une planète totalement invivable.

À quel moment avez-vous entrepris une recherche sur l’autisme ?

Il y a quelques années, j’ai rencontré une journaliste belge, Senta Depuydt, avec qui j’ai organisé un congrès sur l’autisme. Son fils Mattéo était atteint d’autisme grave à l’âge de deux ans, et avec des techniques de détoxification, elle a réussi à le guérir totalement. Mon métier m’a amené à travailler sur le sens des maladies, le fonctionnement des êtres humains, le sens de la physiologie humaine pour aider les gens. Ma théorie des cinq cercles est basée sur le passage de maladies aiguës aux maladies intermédiaires et chroniques qui, non résolues, amènent la génération suivante à tomber malade, sur la base du transgénérationnel, avec le risque de se répandre sur le monde. Les grands dictateurs qui ont mis la terre à feu et à sang : Hussein, Mao, Staline, Hitler, etc.  n’ont pu régler leurs soucis dans leur enfance et ont contaminé la totalité de la planète, ce que j’appelle le passage au monde. On le retrouve aussi dans les épidémies, la grippe espagnole qui suit la Première Guerre mondiale et ses horreurs, la peste noire qui accompagne la Renaissance, la tuberculose durant l’ère industrielle, et la peur qu’éprouvent les gens à ne pas pouvoir survivre dans ce monde de pavés et de béton non naturels. Il est plus facile d’être pauvre à la campagne qu’en ville : on ne peut pas attraper des lapins sur du béton, ni déterrer des racines. Au-delà des maladies des humains, il y a celles de la terre. Le système économique est géré principalement par des personnalités totalement psychotiques. Un gestionnaire de bourse est capable de faire de l’argent même si cela doit tuer des gens, de spéculer sur les marchés alimentaires en sachant que cela peut provoquer une famine en Asie ou en Afrique ! L’autre n’existe plus quand on fait cela, c’est ce qui définit l’état psychotique. Le patron de Goldman Sachs, par exemple, dit qu’il fait le métier de Dieu. Celui qui se prend pour Dieu dans la tradition, c’est le Diable. C’est la problématique actuelle où une certaine folie anime certains secteurs de la planète. Les marchés financiers en sont l’emblème, ils ont perdu la tête et le cœur.

Vous citez Dom Helder Camara : « Sans justice et amour, la paix sera toujours la grande illusion. »

« Il y a trois violences à l’heure actuelle et la plus importante est la violence institutionnalisée qui engendre les deux autres », disait-il. Aujourd’hui, tout le système financier est mis en place pour « pomper » les plus pauvres et enrichir les plus riches. Les gens sont mis en concurrence avec des salaires de plus en plus bas. Les banques fabriquent l’argent, prêtent à l’État et font du racket en prenant des intérêts dessus. L’intégralité de la dette est virtuelle, elle est issue de taux d’intérêt qui ne devraient pas exister, si les états avaient gardé leur autonomie. Pour redémarrer le monde, il faudrait annuler intégralement la dette des États. De l’argent qui ne correspond à aucun niveau de travail est complètement artificiel. Cette déconnexion à la réalité est malsaine et dangereuse. Comme le dit Jean Ziegler, économiste et philosophe suisse : « on n’a pas réformé l’esclavagisme, il est tombé. » Un monstre comme ça ne peut que tomber, mais pas être réformé. C’est le sens des manifestations actuelles ; comme ce gilet jaune où il est inscrit : « Qui sème la misère récolte la violence ! » C’est intéressant qu’en tant que médecin, je parle d’une société et d’un système malades, avec des malades qui gouvernent. Les attaques contre l’homéopathie quand 75 % des gens y sont favorables par expérience sont à ce titre caractéristiques d’un petit groupe qui veut imposer des valeurs « rentables » pour le business, mais plus du tout humaines. Le crime de l’homéopathie est de soigner 30 % de la population avec seulement 3 % des dépenses de santé. Parce qu’aujourd’hui, il est interdit de ne pas dépenser.

Pour lire l’article en entier, Reflets n 31 pages 24 à 26

Continuer la lecture

Retrouvez cet article dans son numéro de parution

Acheter la revue

Articles qui pourraient vous intéresser

le voyage initiatique
Extrait d'article
Eric Grange

Le voyage initiatique

  En 1987, ses études scientifiques l’orientent vers un début de carrière en informatique. En

Lire la suite »
Eric Grange 8 août 2022
Le métavers, vers une scission de l’humanité
Extrait d'article
Sabrina Philippe

Le métavers, vers une scission de l’humanité

Que pouvez-vous dire du monde des écrans dans lequel nous vivons et de la progression

Lire la suite »
Sabrina Philippe 1 août 2022
LE GPS intérieur
Extrait d'article
Philippe Guillemant

Le GPS intérieur, Philippe Guillemant

Philippe Guillemant est ingénieur physicien chercheur au CNRS. Spécialiste de l’intelligence artificielle, il mène aujourd’hui

Lire la suite »
Philippe Guillemant 22 juillet 2022

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Rechercher

A propos de l'auteur

Anita Epiney, membre de l'équipe Reflets
Anita

Don

Vous pouvez faire un don pour aider à financer Revue Reflets.

Faire un don

Newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir les actualités de Reflets.

La revue du trimestre

Loading...

Atelier D'écriture Reflets

La méthode Reflets, expérimentée depuis 2012 pour écrire les articles de la revue, est l’outil utilisé pour passer de l’écriture émotionnelle à l’écriture inspirée.

Révélez votre génialité

S'inscrire

Suivez-nous

Facebook Youtube

Revue Reflets

REFLETS, revue trimestrielle, porte un autre regard sur l’actualité essayant d’apercevoir ce qui se joue au-delà de l’aspect émotionnel, pour la société, la civilisation, voire l’Histoire.

Envelope Facebook-f Youtube

A la une

Loading...

Revue Reflets n° 44

JUILLET/AOUT/SEPTEMBRE 2022

Voir tous les numéros

Liens utiles

  • Mentions légales
  • Politique de confidentialité
  • CGVU
Menu
  • Mentions légales
  • Politique de confidentialité
  • CGVU

Revue Reflets © 2021 – Agence Bee too Bee

×

Panier

Don

Reflets
A besoin de vous !

Le site Reflets est destiné à devenir un lieu d’échange où chaque internaute peut trouver gratuitement :

  1. Des informations
  2. Des points de vue
  3. Des articles inédits
  4. Des interviews

Et cela sans avoir :

  • À payer un espace dédié
  • Sans être noyé dans de la publicité

De ce fait, pour que Reflets puisse perdurer, nous vous invitons à faire un don à l’association.

De quelques centimes à  ….illimité, c’est vous qui choisissez.

Je veux faire un don !