« Bonne » humeur du jour
Christian Roesch
En ce moment foisonnent des livres pressentant l’émergence d’une nouvelle société.
Très souvent l’analyse de la société actuelle est pertinente. Les approches de la nouvelle s’appuient sur des valeurs tout autres.
– Une vraie démocratie
– Une société participative
– Une économie humaine
Les auteurs dessinent ainsi des modèles envisageables fondés sur une citoyenneté éclairée. Les solutions adéquates sont fondées sur le partage, l’altruisme, la liberté.
L’utopie semble réaliste.
Que manque t-il pour que le rêve devienne réalité ?
Il manque Dieu !
Comment est-ce possible sans foi en l’homme ?
Comment est-ce possible sans effort sur soi-même, pour soi-même ?
Comment concrétiser ce que l’imagination envisage sans le mettre en application dès aujourd’hui ?
Le monde ne peut devenir meilleur sans que je ne devienne meilleur.
MAINTENANT.
D’où prendrais-je la force de cet effort ?
– Dans l’expérience d’amour qui en résulte.
Cet amour précède l’expérience. Il est. Avec ou sans moi. Il est sans limite, ni de temps ni d’espace.
Il est Dieu.
Le monde à venir ne peut provenir que de cette expérience, qu’elle soit nommée ou non.
Sinon, sous une forme ou une autre, c’est toujours l’égoïsme au pouvoir.
Rien de nouveau sous le soleil !