Novembre 2016
Chacun va de son commentaire sur l’élection à la présidence de D. Trump. Bien sûr il y a de quoi se faire du souci. Cependant il faut se rendre à l’évidence : il a été élu démocratiquement. Cela veut dire qu’il correspond au niveau de conscience moyen des Américains.
Sommes-nous mieux lotis pour juger ?
Sommes-nous plus accueillants aux émigrés, aux réfugiés ?
Nous occupons-nous si bien des sans-abris ?
Que faisons-nous pour les mal-logés ?
Élevons-nous au dessus du champ politique.
Nous assistons à une poussée de l’ego qui croit en la vertu de l’argent, symbolisée par Trump.
La richesse occidentale est exagérée. Elle en est devenue pathologique. L’inquiétude ressentie provient du fait que, au fond de nous, nous savons que le monde n’ira pas mieux dans cette direction.
Gitta Mallasz à la fin de sa vie percevait combien le progrès de la conscience est lent, très lent.
Inutile de sombrer dans la morosité. Un monde meilleur provient d’individus meilleurs.
REFLETS ne cessera d’œuvrer dans ce sens. Même si cela ne se voit pas.
L’équipe de rédaction