Accompagnante en transmutation des mémoires cellulaires, auteure, animatrice de séminaires, formations et conférences. www.creersavie.com
Dernier ouvrage :
Le cœur alchimique ou comment transformer notre plomb en or
Les répétitions transgénérationnelles
Lorsque l’homme s’incarne sur le plan matériel, il s’incarne avec un bagage, une mémoire.
Dès notre naissance, nous sommes porteurs de mémoires informationnelles qui vont attirer à nous des rencontres, des expériences, des situations en fonction de notre bagage émotionnel mais aussi de celui de nos ancêtres.
Chaque blessure, chaque peur, chaque croyance, consciente ou inconsciente, dont nous sommes porteurs, est inscrite dans nos cellules.
Il faut savoir que lorsque nous sommes en gestation dans le ventre de notre mère, nos structures physiques, mentales et émotionnelles se mettent en place. Pendant cette période, différents facteurs comportementaux, culturels, sociaux et environnementaux ont aussi une influence sur le fœtus.
Une accumulation d’expériences négatives de par notre transgénérationnel devient alors un fardeau émotionnel. Tout ce qui est caché ou mal vécu par nos ancêtres se transmet de génération en génération. Les descendants sont alors porteurs des traumatismes de leurs aïeux qui peuvent mener vers des dysfonctionnements d’ordre physique et/ou psychique.
La mémoire de nos ancêtres inscrite dans notre A.D.N.
Nous ne sommes pas sans savoir, le corps humain est composé de cellules. Chacune de nos cellules renferme un noyau dans lequel se trouvent nos chromosomes, porteurs de notre A.D.N., support de l’information génétique, donc de notre mémoire mais également de celle de nos ancêtres.
Nos ancêtres ne sont pas seulement nos parents, grands-parents ou arrière- grands-parents, ce sont des milliers d’années de générations. Nous avons dans notre A.D.N. des milliers d’années d’expériences personnelles mais également la mémoire et la culture du pays dans lequel nos ancêtres sont nés.
Nos chromosomes baignent dans l’eau des cellules qui composent notre corps. L’eau étant conductrice, elle est le véhicule de notre mémoire (cf. travaux du professeur Marc Henry sur l’eau informée). Cette mémoire inscrite dans notre A.D.N. informe la poche d’eau matricielle dans laquelle nous
baignons dans le ventre de notre maman et de laquelle nous sommes issus.
Nous avons dans nos eaux intérieures des mondes d’informations à dépasser, à transformer et à guérir.
C’est dans le « creuset » que représente le ventre de notre mère que nos schémas répétitifs trouvent leur origine.
Schémas que nous répétons de génération en génération tant que nous ne transmutons pas ces mémoires cellulaires.
C’est pourquoi dès notre naissance, nous véhiculons à travers notre corps des informations qui vont attirer à nous des rencontres, des expériences, des situations en résonance avec les mémoires dont nous sommes porteurs.
Cette mémoire, bien souvent inconsciente, dirige notre vie à 90 %. Ainsi, elle oriente nos choix et crée notre futur.
Ce futur n’est finalement que la reproduction d’un passé que l’on répète en boucle de génération en génération.
Nous pensons diriger notre vie mais nous sommes en réalité en « pilotage automatique ».
Jusqu’à présent, les scientifiques occidentaux ont limité leurs recherches à 10 % de notre A.D.N., ce qui correspond aux gènes impliqués dans notre métabolisme, c’est-à-dire aux gènes qui nous permettent de « survivre ».
Ils considéraient les 90 % restants comme des « déchets génétiques ».
Un groupe de scientifiques russes, dirigé par le biophysicien et biologiste moléculaire Pyotr Garyaev, a découvert que les 90 % de notre A.D.N. considérés comme « déchets génétiques » ou « A.D.N. poubelle » contiennent des informations précieuses telles que des capacités, potentiels et savoirs ancestraux. Plus particulièrement des clés pour nourrir le vivant, ce que les scientifiques nomment « le souffle de vie » et la santé dans chacune de nos cellules.
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Pour lire l’article REFLETS n°48 pages 20 à 23